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 Le jeu du chat et de la souris [Close]

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Kaori Shiragiku
× CHESS.
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Kaori Shiragiku


« sexe : Féminin
« âge : 31
« messages : 188
« humeur : J'veux jouer! ♥

character.
« âge/classe : 17 ans ; 3ème année
« arme : Aiguilles spéciales ; boules explosives, fumigènes ou à étincelles
« votre opinion sur Chess & Shell :
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MessageSujet: Le jeu du chat et de la souris [Close]   Le jeu du chat et de la souris [Close] EmptyJeu 28 Jan - 8:01



    - Ce film était super !

    Ce film était nul. J’avais accepté de sortir au cinéma pour voir le dernier film à l’eau de rose avec des camarades de classe uniquement pour ne pas éveiller leurs soupçons. J’étais censé être leur amie après tout… Et elles avaient fait remarquer que je sortais rarement, pour ne pas dire jamais, avec elle. C’était vrai… Je me trouvais toujours des excuses. J’ai mon job à mi-temps… Je dois réviser pour le prochain examen… Je dois voir quelqu’un… J’ai des cours du soir… Je trouvais toujours une excuse bidon, mais en fait, c’était juste que je n’étais pas vraiment du genre à aimer sortir avec plein de monde… Trop de monde… Trop de monde qui vous regarde, qui sont tout près de vous, qui pourrait avoir tout le loisir de vous tuer… Mes tuteurs du clan Shiragiku, dans ma ville natale, m’avaient toujours apprit à essayer d’éviter le plus possible les endroits bondé de monde, sauf lorsqu’il s’agissait de semer quelqu’un lors d’une course poursuite. Je n’aime pas ce monde… Ils sont laids, ils sentent mauvais. Le simple fait qu’autant de monde se trouve à quelque centimètre de moi, et puisse me toucher de leur horrible peau à tout moment me répugnait…

    … Mais à force d’observer la vie et le comportement des lycéens, j’avais comprit qu’en continuant de les éviter ainsi, je ne finirais pas être ce qu’on appelle une exclue. La fille qu’on ignore, qu’on n’invite jamais, à qui on ne parle jamais. Et par la suite, cela pouvait empirer. La fille qu’on harcèle, la fille qu’on raquette, la fille qu’on martyrise. La première partie ne me gênait pas vraiment… Quant à la seconde, je pourrais me débrouiller très facilement pour qu’ils comprennent que je ne suis pas le genre de fille que n’importe qui peut se permettre de martyriser sans en subir les conséquences. Mais il était comme même plus plaisant de faire semblant d’être amie avec tout le monde… Malgré qu’il faille entretenir ces stupides relations. On est celle que tout le monde apprécie, celle que personne ne soupçonnerait d’être la Magicienne, une fille masqué détraqué et folle qui provoque tout ce qui bouge par simple jeu. Personne ne me soupçonne… Et c’est pour cela que je fessais avec.


    - Oui ! J’ai adoré le moment où le personnage principal a réussi à empêcher sa petite amie de prendre l’avion juste à temps.

    *Idiot de mec même pas capable de se décider*


    - Ah oui ! Toi aussi tu as aimé ce passage là, Kao-chan ?

    Les hommes du clan de mon père les auraient jeté dans la baie de Tokyo s’ils les avaient entendu oser m’appeler par un diminutif de mon prénom, et en plus utilisé le –chan. La nuit tomba, et je quittai mon groupe d’amies, chacun allons de son côté pour rentré chez elle. Moi, je m’arrêtai d’abord à un convini pour faire quelques courses. Quelque pots d’ice-cream (malgré le froid de l’hiver… Ce qui surprit le vendeur), un bâtonnet de glace, et du jus de pomme. Puis je sortis pour rentré chez moi.

    Il serait faux de pensé que la nuit tombé, il y a moins de monde dehors. En fait, il y en a deux fois plus que la nuit tombé : ce sont les adultes qui ont terminé leur travail et qui vont boire aux bars, chanté au karaoké, ou autres activité… Tous ces hommes qui sont des pères de famille… Cela me dégoûte. Heureusement que moi, je n’ai pas de père… Du moins, je ne connais pas mon vrai père, et lui il ne doit pas me connaître non plus. Parce que je préfèrerais me faire un harakiri plutôt que d’en avoir un comme ses hommes ivres qui hantent les rues. Afin d’éviter cette foule, j’empruntais une petite ruelle. Vide de ce monde si dépravé, et raccourci pour rentré chez moi. Vous l’aurez sûrement deviné… Comme toujours, il faut que l’innocente jeune fille sans défense se risque à un moment ou un autre d’emprunter la sinistre ruelle en plein milieu de la nuit, où elle découvrira mille et un dangers. Quelle innocente jeune fille insouciante... Il a fallu que cinq minutes, alors que je marchais tranquillement dans la ruelle en mangeant mon bâtonnet de glace à la fraise, pour qu’un groupe de yankee ne fasse ma rencontre. Nous nous arrêtâmes. Au même moment, nous étions séparés par une certaine distance. Il eu un moment de silence où ils me regardèrent les yeux ronds, comme s’ils n’arrivaient pas à croire que j’étais juste en face d’eux. Ils se parlèrent entre eux, puis ils commencèrent à s’approcher.


    - Salut, chaton, tu t’es perdue ? Ce n’est pas bien de te promener toute seule comme ça.

    - Heureusement que tu nous a rencontré. On va prendre bien soin de toi et te protéger.

    - Alors ça te dirais d’aller à un bar avec nous ? Ah non, tu préférerais peut-être chanter au karaoké ?

    - Non, désolé, mais j’ai mieux à faire que de trainer avec des déchets comme vous.

    - Allez, sois pas si méchante, on va juste jouer.


    Les garçons insistèrent, et l’un deux m’agrippa le poignet, bien décidé à ne par me laisser partir. Mais malgré cela, mes mains étaient encore capables de saisirent discrètement les aiguilles dissimulé dans mes manches.

    - Vous voulez jouer ? Très bien, on va donc jouer à mon jeu à moi…

    Je croquais un dernier morceau de mon bâtonnet de glace. Ayant un de mes poignet prit par un de ses dégénérés, je devais utiliser mon autre main qui tenait ma glace à la fraise. C’est pour cela, qu’après avoir dégusté un dernier morceau glacé, je le laissai tombé par terre, et d’un geste rapide, je pris mes aiguilles.

    - …Et ça s’appelle : « Eviter les griffes du chaton ».

    Pour un potentiel passant qui aurait vu cette scène par hasard, il aurait juste vu une innocente jeune fille entouré d’un groupe de yankee qui tombait les uns après les autres, comme frappé par une force mystérieuse. Pour ces yankee, rien n’était compréhensible, leurs corps les fessaient soudainement souffrir, sans qu’ils ne puissent savoir pourquoi. Des plaies apparaissaient comme par magie, et saignaient abandonnement. Pour moi, c’était simple. J’avais longtemps exercé ma technique pour être assez rapide et pour que mes mouvement de poignet et de doigts ne soient presque pas visibles. J’avais rapidement lancé des dizaines d’aiguilles spéciales sur les yankees, touchant certains points sensibles pour que leur douleur soit plus vive et suffisante pour les paralysés par terre un moment. J’avais réussi à tous les mettre à terre avant que ma glace ne touche le sol. Quel gâchis, une si délicieuse glace. Elle s’était à présent aplatit sur le sol en une grosse tâche rougeâtre, près des yankee qui se tordaient à présent de douleur par terre, incapable de se relever.

    - Arg ! Mais… Qu’est-ce que… T’es… ? Un monstre… ? Aie aie aie…

    - T’inquiète pas. Je ne suis qu’un innocent petit chaton, qui griffe, mais qui ne tue pas…


    Mon ton mielleux rendait la situation presque comique à mes yeux. Je m’apprêtais à partir en enjambant le corps endoloris d’un des gars, quand j’eu une soudaine envie de m’amuser encore plus. Mon pied s’arrêta juste au dessus de la tête du yankee.

    - …Cependant, je pourrais m’y mettre. C’est vrai que le simple fait de vous regarder donne des envies de meurtre…

    Le jeune homme trembla de peur. Il ferma les yeux, essayant de se préparé à la douleur qui allait arriver. Je fis un dernier sourire, puis je l’enjambai pour continuer mon chemin et les laisser agoniser seuls.

    - … Mais je ne suis qu’une innocente jeune fille sans défense et aux mains immaculées.

    J’arrivais enfin dans ma chambre d’internat. J’allumai la lumière de ma chambre et je laissai tomber le sac en plastique du convini dans un coin de la pièce avant d’appuyer sur la lecture des messages de mon répondeur, il y avait trois message. Premier message, une camarade de classe qui me demande si elle pourrait m’emprunter un jeu vidéo. Dans tes rêves ! Tu ne m’as même pas rendu le dernier que je t’ai passé ! J’enlevai mon manteau et le jeta sur le lit. Deuxième message, mon père adoptif, resté dans ma ville natale, qui me demande de mes nouvelles et me rappelle de ne pas faire de bêtises… Mais non papounet, je ne fais rien de mal… J’allumai la lampe de mon bureau et m’y assis. Ce n’est qu’à ce moment là que je vis un objet qui n’était pas là lorsque je suis partit ce matin, un objet qui ne m’appartenait pas… Un petit carnet électronique noir et blanc, avec une couronne sur la couverture, trônait au milieu de mon bureau, à l’endroit exacte où ma lampe éclairait. A ce moment… Troisième message :

    « Kaori Shiragiku, nous connaissons votre secret... Vous êtes toujours souriante, et vous êtes amie avec tout le monde. Mais la nature humaine vous dégoûte… La laideur du monde vous répugne… Et parce que vous n’êtes qu’une lycéenne comme toutes les autres, vous ne pouvez rien faire contre cela, c’est pourquoi vous continuez à vous voiler la face derrière ce masque de gentillesse. Vous êtes un innocent chaton qui ne demande qu’à avoir des griffes acéré pour punir les pécheurs et refaire un monde meilleur. C’est pourquoi on vous a choisi, vous, pour être le Knight X du Chess. A présent, punissez les pécheurs de vos griffes acérés. »

    Qu’est-ce donc que cela ? Mon secret ? Une lycéenne comme les autres ? Un innocent chaton ? Un monde meilleur ? Ceux qui pensaient avoir tous découvert se trompaient sur toute la ligne. Et le plus ironique, c’est qu’ils demandaient à moi, la Magicienne, folle détraqué qui les provoque par pur plaisir du jeu, de faire partie de leur groupe que je pourchasse depuis que j’ai découvert leur existence. Je ne suis pas un chaton, je suis un fauve, espiègle mais qui reste toujours un prédateur. Et mes souris ne sont pas des pécheurs, mais ceux qui on ouvert la porte au loup déguisé.

    Je pris le carnet noir et blanc et je me balançais en arrière sur mon fauteuil afin de mettre mes jambes sur le bureau. En ouvrant le carnet, je découvris un écran. Le carnet lu automatiquement l’empreinte de mes doigts lorsque je l’ouvris. Sur l’écran, une phrase apparu :
    « Bienvenu sur le ChessNote, Knight X. »

    - Je crois bien que je vais adorer ce nouveau jeu…

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